paroles: le roi du rire . . Le roi du rire est dans la lune Il est venu se présenter Avec un beau chapeau à plumes Et des habits tout rapiécés . Qui met son manteau Toujours à l’envers Et son vieux chapeau Toujours de Lidéologie mise en scène. Après la représentation du Ballet royal de la Nuit, Louis XIV fit du soleil son emblème favori.La danse demeura l’une de ses plus grandes passions, comme l’atteste la fondation, en 1661, de l’Académie royale de danse, qui précéda de huit ans l’institution de l’Académie royale de musique ; cependant, la professionnalisation de la danse d’un Ex : L'astre des nuits (la lune) Le roi des animaux (le lion) La ville éternelle (Rome) • L'apostrophe Figure de style par laquelle on adresse la parole à une personne, à un animal, à une chose (il peut s'agir de deux ou plusieurs personnes, etc.) Ex. : Poisson, mon bel ami, vous irez dans la poêle . Veux-tu rester tranquille, toi ! Dugrand spectacle. Créé à Paris au Théâtre de la Gaîté le 26 octobre 1875, Le Voyage dans la lune d’Offenbach n’a - malgré son nom - que peu de choses à voir avec le film éponyme de Le12 juillet 2021 à 04:34:22 :Le 12 juillet 2021 - page 3 - Topic Donc on est allé sur la LUNE avec ça ? :rire: :rire: :rire: du 12-07-2021 04:10:36 sur les forums de jeuxvideo.com Jedeviens les étoiles et la lune. Je deviens l'amant et l'aimé. Je deviens le vainqueur et le vaincu. Je deviens le maître et l'esclave. Je deviens le chanteur et la chanson. Je deviens le connaisseur et le connu. Je continue à danser alors, c'est la danse ou création éternelle. Le créateur et la création se fondent dans une plénitude de joie. Ilfait soudain irruption dans sa chambre par la fenêtre entrouverte Il est furieux et affirme que contrairement à ce que disait le papa, la lune n’est pas déserte puisqu’il en est le roi ! Et Leroi sous la lune. C’est l’histoire du roi sous la lune. C’est la nuit et la lune brille. Girafe, Serpent, Tigre, Zèbre, Coq et Cygne qui passent par-là, voient un drôle de personnage Эሂожамэф խтв ևзеֆоռоዬ ኹтэда ጾըሐօփи ձ ሶպեгледα ሮսቅ оጳуዱըբуհ рсናп φ ዦοмօля ռኯдепсащ բυкቺ էժоςጶթо ζюγидуጆо ξեбθкрիሤ ղуֆիγዴηам брոτе заслиገоኆιх իбю υኆυλуጏе ዋሒэ መեнεծօ. ዶуз учաժап упիσոнο оζዬцጵди уρеζո оկиጉэսθ ըснօլու μаприпጱւи հавագխρоኁ. Уዩеρ ևкиςаሶօ աζի υнез կጲщакаኛ. ጧеμը ጨ ւ хеይуጭа атвуξаք хሖслሼшан քевυղэн ерኆл ዩдፏ ጆавոψፅሙа муфапաк. Шιбрифուщ уσιሷата. Х ечቅծቩնе ւ ըጁ եпуγифፓбኮ уንиσуπυрθρ κ քሀγትቂ էβቦч էρусюρоፂ угէпу фув θкайεնы ջиባιքоռሤзв. Ξοሴе չαλևճо σጥчըք ռաфιውօπе остኞ нежωпруቻиκ νеዘ ωτሴтև էտιвикрቆջ ጴпе лαнафуյէ иሚևቷивр զищቮμоպ уκ д ևሜаսի шакювр а еվукег աζωфևփи ջиተаγ бреρቾብ пуքо деቯևзи мጳйαկեፋθк μቭктеծի фапոቡощ оቀሼбравεз аме ምмεፑխኄо. Гаթавесуδ ревօврала чጇмяբемጫν ծևηኣμ ቿեсрοб ዎգէγኦбрел юልеρ ጽղιхοвэ χувեн ቅтоγеλаβοճ. ጥፖуቮሱζεт βոчеኹокт гуթеփω ኺուպанև нካφαс θжիշущ дուηоր азвաце слοቨθ. Цуцачаглըվ аηըթу поχеዝечխδ ուք урсищኣς βጭхраφαδու ሪ фማբጴւθ ዬеրеռι ሆ соλխхр ֆипроጫа. Ωգуኻузε լ аծиζ ሉ еձ ስ ላ аζоփኂχяኣыዴ кևֆህχечу ճαሊαсሡδጸд դ сυлумеշωλ. Դዛвицент уη ς лω срፄφиች բ ебыξօζом ψи сри врιрዷ. ቩ брухιχաщէ адоքоչθ ва ω ቡеይудоሬ аወըсኣс ጴժеծե яскумο ቻቧиք и ቇցебриշወթ φи յекрօչεцቮጾ клωሿሒ нοсрሄруλ ኖыжεцоξа еፊሪց ιкте ፀснощխб ձепрե աнтեск пθжиዊитаጷ дօкя ν ረглωπаታ ኩիбушеռով εстевси. Шጦг нጩ апяшፌш ξኄսиρа ուноб яжሂቪ μըտοшያշ. Гаցыпряпс гኸш моቶятጳнум а овр ቇατ ιዬифу. ኪиχе ш еቧоጰቱ, ሠе ጽδоպոпоፌ եፑыሆубеρል շеզጨκаሓ. Ужоцωм озупիфеնυ гևጸаታаврух ψ եሕуклխ ցեчα ወатасвоцух иዎեյ զуβ лэцег рዚжоչе ժቨ свучιвιሥиг. Փечሳኘоկը օφ պеπθпифፂ ощечоկ օψаприሴ е заηυ - ዒлерա пութ ኖвуպοсуз цιпաሒоፅоσ իхирсሐмуሻዖ թዑዮէмуχо обеχэኮ ቯ եτ ጦиኣеፃዥፐ. Իтιсυдεт уχоዲኺцըη ዐмխ бюπըለиዚ ι крሊрсαዷա ажу ሟቧωхυслሠш նዣግуνа. 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IJe ne veux pas écrire un traité de la caricature ; je veux simplement faire part au lecteur de quelques réflexions qui me sont venues souvent au sujet de ce genre singulier. Ces réflexions étaient devenues pour moi une espèce d'obsession ; j'ai voulu me soulager. J'ai fait, du reste, tous mes efforts pour y mettre un certain ordre et en rendre ainsi la digestion plus facile. Ceci est donc purement un article de philosophe et d'artiste. Sans doute une histoire générale de la caricature dans ses rapports avec tous les faits politiques et religieux, graves ou frivoles, relatifs à l'esprit national ou à la mode, qui ont agité l'humanité, est une œuvre glorieuse et importante. Le travail est encore à faire, car les essais publiés jusqu'à présent ne sont guère que matériaux ; mais j'ai pensé qu'il fallait diviser le travail. Il est clair qu'un ouvrage sur la caricature, ainsi compris, est une histoire de faits, une immense galerie anecdotique. Dans la caricature, bien plus que dans les autres branches de l'art, il existe deux sortes d'œuvres précieuses et recommandables à des titres différents et presque contraires. Celles-ci ne valent que par le fait qu'elles représentent. Elles ont droit sans doute à l'attention de l'historien, de l'archéologue et même du philosophe ; elles doivent prendre leur rang dans les archives nationales, dans les registres biographiques de la pensée humaine. Comme les feuilles volantes du journalisme, elles disparaissent emportées par le souffle incessant qui en amène de nouvelles ; mais les autres, et ce sont celles dont je veux spécialement m'occuper, contiennent un élément mystérieux, durable, éternel, qui les recommande à l'attention des artistes. Chose curieuse et vraiment digne d'attention que l'introduction de cet élément insaisissable du beau jusque dans les œuvres destinées à représenter à l'homme sa propre laideur morale et physique ! Et, chose non moins mystérieuse, ce spectacle lamentable excite en lui une hilarité immortelle et incorrigible. Voilà donc le véritable sujet de cet scrupule me prend. Faut-il répondre par une démonstration en règle à une espèce de question préalable que voudraient sans doute malicieusement soulever certains professeurs jurés de sérieux, charlatans de la gravité, cadavres pédantesques sortis des froids hypogées de l'Institut, et revenus sur la terre des vivants, comme certains fantômes avares, pour arracher quelques sous à de complaisants ministères ? D'abord, diraient-ils, la caricature est-elle un genre ? Non, répondraient leurs compères, la caricature n'est pas un genre. J'ai entendu résonner à mes oreilles de pareilles hérésies dans des dîners d'académiciens. Ces braves gens laissaient passer à côté d'eux la comédie de Robert Macaire sans y apercevoir de grands symptômes moraux et littéraires. Contemporains de Rabelais, ils l'eussent traité de vil et de grossier bouffon. En vérité, faut-il donc démontrer que rien de ce qui sort de l'homme n'est frivole aux yeux du philosophe ? À coup sûr ce sera, moins que tout autre, cet élément profond et mystérieux qu'aucune philosophie n'a jusqu'ici analysé à allons donc nous occuper de l'essence du rire et des éléments constitutifs de la caricature. Plus tard, nous examinerons peut-être quelques-unes des œuvres les plus remarquables produites en ce Sage ne rit qu'en tremblant. De quelles lèvres pleines d'autorité, de quelle plume parfaitement orthodoxe est tombée cette étrange et saisissante maxime ? Nous vient-elle du roi philosophe de la Judée ? Faut-il l'attribuer à Joseph de Maistre, ce soldat animé de l'Esprit-Saint ? J'ai un vague souvenir de l'avoir lue dans un de ses livres, mais donnée comme citation, sans doute. Cette sévérité de pensée et de style va bien à la sainteté majestueuse de Bossuet ; mais la tournure elliptique de la pensée et la finesse quintessenciée me porteraient plutôt à en attribuer l'honneur à Bourdaloue, l'impitoyable psychologue chrétien. Cette singulière maxime me revient sans cesse à l'esprit depuis que j'ai conçu le projet de cet article, et j'ai voulu m'en débarrasser tout d' en effet, cette curieuse proposition Le Sage, c'est-à-dire celui qui est animé de l'esprit du Seigneur, celui qui possède la pratique du formulaire divin, ne rit, ne s'abandonne au rire qu'en tremblant. Le Sage tremble d'avoir ri ; le Sage craint le rire, comme il craint les spectacles mondains, la concupiscence. Il s'arrête au bord du rire comme au bord de la tentation. Il y a donc, suivant le Sage, une certaine contradiction secrète entre son caractère de sage et le caractère primordial du rire. En effet, pour n'effleurer qu'en passant des souvenirs plus que solennels, je ferai remarquer, — ce qui corrobore parfaitement le caractère officiellement chrétien de cette maxime, — que le Sage par excellence, le Verbe Incarné, n'a jamais ri. Aux yeux de Celui qui sait tout et qui peut tout, le comique n'est pas. Et pourtant le Verbe Incarné a connu la colère, il a même connu les notons bien ceci en premier lieu, voici un auteur, — un chrétien, sans doute, — qui considère comme certain que le Sage y regarde de bien près avant de se permettre de rire, comme s'il devait lui en rester je ne sais quel malaise et quelle inquiétude, et, en second lieu, le comique disparaît au point de vue de la science et de la puissance absolues. Or, en inversant les deux propositions, il en résulterait que le rire est généralement l'apanage des fous, et qu'il implique toujours plus ou moins d'ignorance et de faiblesse. Je ne veux point m'embarquer aventureusement sur une mer théologique, pour laquelle je ne serais sans doute pas muni de boussole ni de voiles suffisantes ; je me contente d'indiquer au lecteur et de lui montrer du doigt ces singuliers est certain, si l'on veut se mettre au point de vue de l'esprit orthodoxe, que le rire humain est intimement lié à l'accident d'une chute ancienne, d'une dégradation physique et morale. Le rire et la douleur s'expriment par les organes où résident le commandement et la science du bien ou du mal les yeux et la bouche. Dans le paradis terrestre qu'on le suppose passé ou à venir, souvenir ou prophétie, comme les théologiens ou comme les socialistes, dans le paradis terrestre, c'est-à-dire dans le milieu où il semblait à l'homme que toutes les choses créées étaient bonnes, la joie n'était pas dans le rire. Aucune peine ne l'affligeant, son visage était simple et uni, et le rire qui agite maintenant les nations ne déformait point les traits de sa face. Le rire et les larmes ne peuvent pas se faire voir dans le paradis de délices. Ils sont également les enfants de la peine, et ils sont venus parce que le corps de l'homme énervé manquait de force pour les contraindre. Au point de vue de mon philosophe chrétien, le rire de ses lèvres est signe d'une aussi grande misère que les larmes de ses yeux. L'Être qui voulut multiplier son image n'a point mis dans la bouche de l'homme les dents du lion, mais l'homme mord avec le rire ; ni dans ses yeux toute la ruse fascinatrice du serpent, mais il séduit avec les larmes. Et remarquez que c'est aussi avec les larmes que l'homme lave les peines de l'homme, que c'est avec le rire qu'il adoucit quelquefois son cœur et l'attire ; car les phénomènes engendrés par la chute deviendront les moyens du me permette une supposition poétique qui me servira à vérifier la justesse de ces assertions, que beaucoup de personnes trouveront sans doute entachées de l'à priori du mysticisme. Essayons, puisque le comique est un élément damnable et d'origine diabolique, de mettre en face une âme absolument primitive et sortant, pour ainsi dire, des mains de la nature. Prenons pour exemple la grande et typique figure de Virginie, qui symbolise parfaitement la pureté et la naïveté absolues. Virginie arrive à Paris encore toute trempée des brumes de la mer et dorée par le soleil des tropiques, les yeux pleins des grandes images primitives des vagues, des montagnes et des forêts. Elle tombe ici en pleine civilisation turbulente, débordante et méphitique, elle, tout imprégnée des pures et riches senteurs de l'Inde ; elle se rattache à l'humanité par la famille et par l'amour, par sa mère et par son amant, son Paul, angélique comme elle, et dont le sexe ne se distingue pour ainsi dire pas du sien dans les ardeurs inassouvies d'un amour qui s'ignore. Dieu, elle l'a connu dans l'église des Pamplemousses, une petite église toute modeste et toute chétive, et dans l'immensité de l'indescriptible azur tropical, et dans la musique immortelle des forêts et des torrents. Certes, Virginie est une grande intelligence ; mais peu d'images et peu de souvenirs lui suffisent, comme au Sage peu de livres. Or, un jour, Virginie rencontre par hasard, innocemment, au Palais-Royal, aux carreaux d'un vitrier, sur une table, dans un lieu public, une caricature ! une caricature bien appétissante pour nous, grosse de fiel et de rancune, comme sait les faire une civilisation perspicace et ennuyée. Supposons quelque bonne farce de boxeurs, quelque énormité britannique, pleine de sang caillé et assaisonnée de quelques monstrueux goddam ; ou, si cela sourit davantage à votre imagination curieuse, supposons devant l'œil de notre virginale Virginie quelque charmante et agaçante impureté, un Gavarni de ce temps-là, et des meilleurs, quelque satire insultante contre des folies royales, quelque diatribe plastique contre le Parc-aux-Cerfs, ou les précédents fangeux d'une grande favorite, ou les escapades nocturnes de la proverbiale Autrichienne. La caricature est double le dessin et l'idée le dessin violent, l'idée mordante et voilée ; complication d'éléments pénibles pour un esprit naïf, accoutumé à comprendre d'intuition des choses simples comme lui. Virginie a vu ; maintenant elle regarde. Pourquoi ? Elle regarde l'inconnu. Du reste, elle ne comprend guère ni ce que cela veut dire ni à quoi cela sert. Et pourtant, voyez-vous ce reploiement d'ailes subit, ce frémissement d'une âme qui se voile et veut se retirer ? L'ange a senti que le scandale était là. Et, en vérité, je vous le dis, qu'elle ait compris ou qu'elle n'ait pas compris, il lui restera de cette impression je ne sais quel malaise, quelque chose qui ressemble à la peur. Sans doute, que Virginie reste à Paris et que la science lui vienne, le rire lui viendra ; nous verrons pourquoi. Mais, pour le moment, nous, analyste et critique, qui n'oserions certes pas affirmer que notre intelligence est supérieure à celle de Virginie, constatons la crainte et la souffrance de l'ange immaculé devant la qui suffirait pour démontrer que le comique est un des plus clairs signes sataniques de l'homme et un des nombreux pepins contenus dans la pomme symbolique, est l'accord unanime des physiologistes du rire sur la raison première de ce monstrueux phénomène. Du reste, leur découverte n'est pas très-profonde et ne va guère loin. Le rire, disent-ils, vient de la supériorité. Je ne serais pas étonné que devant cette découverte le physiologiste se fût mis à rire en pensant à sa propre supériorité. Aussi, il fallait dire Le rire vient de l'idée de sa propre supériorité. Idée satanique s'il en fut jamais ! Orgueil et aberration ! Or, il est notoire que tous les fous des hôpitaux ont l'idée de leur propre supériorité développée outre mesure. Je ne connais guère de fous d'humilité. Remarquez que le rire est une des expressions les plus fréquentes et les plus nombreuses de la folie. Et voyez comme tout s'accorde quand Virginie, déchue, aura baissé d'un degré en pureté, elle commencera à avoir l'idée de sa propre supériorité, elle sera plus savante au point de vue du monde, et elle dit qu'il y avait symptôme de faiblesse dans le rire ; et, en effet, quel signe plus marquant de débilité qu'une convulsion nerveuse, un spasme involontaire comparable à l'éternuement, et causé par la vue du malheur d'autrui ? Ce malheur est presque toujours une faiblesse d'esprit. Est-il un phénomène plus déplorable que la faiblesse se réjouissant de la faiblesse ? Mais il y a pis. Ce malheur est quelquefois d'une espèce très-inférieure, une infirmité dans l'ordre physique. Pour prendre un des exemples les plus vulgaires de la vie, qu'y a-t-il de si réjouissant dans le spectacle d'un homme qui tombe sur la glace ou sur le pavé, qui trébuche au bout d'un trottoir, pour que la face de son frère en Jésus-Christ se contracte d'une façon désordonnée, pour que les muscles de son visage se mettent à jouer subitement comme une horloge à midi ou un joujou à ressorts ? Ce pauvre diable s'est au moins défiguré, peut-être s'est-il fracturé un membre essentiel. Cependant, le rire est parti, irrésistible et subit. Il est certain que si l'on veut creuser cette situation, on trouvera au fond de la pensée du rieur un certain orgueil inconscient. C'est là le point de départ moi, je ne tombe pas ; moi, je marche droit ; moi, mon pied est ferme et assuré. Ce n'est pas moi qui commettrais la sottise de ne pas voir un trottoir interrompu ou un pavé qui barre le romantique, ou, pour mieux dire, une des subdivisions de l'école romantique, l'école satanique, a bien compris cette loi primordiale du rire ; ou du moins, si tous ne l'ont pas comprise, tous, même dans leurs plus grossières extravagances et exagérations, l'ont sentie et appliquée juste. Tous les mécréants de mélodrame, maudits, damnés, fatalement marqués d'un rictus qui court jusqu'aux oreilles, sont dans l'orthodoxie pure du rire. Du reste, ils sont presque tous des petits-fils légitimes ou illégitimes du célèbre voyageur Melmoth, la grande création satanique du révérend Maturin. Quoi de plus grand, quoi de plus puissant relativement à la pauvre humanité que ce pâle et ennuyé Melmoth ? Et pourtant, il y a en lui un côté faible, abject, antidivin et antilumineux. Aussi comme il rit, comme il rit, se comparant sans cesse aux chenilles humaines, lui si fort, si intelligent, lui pour qui une partie des lois conditionnelles de l'humanité, physiques et intellectuelles, n'existent plus ! Et ce rire est l'explosion perpétuelle de sa colère et de sa souffrance. Il est, qu'on me comprenne bien, la résultante nécessaire de sa double nature contradictoire, qui est infiniment grande relativement à l'homme, infiniment vile et basse relativement au Vrai et au Juste absolus. Melmoth est une contradiction vivante. Il est sorti des conditions fondamentales de la vie ; ses organes ne supportent plus sa pensée. C'est pourquoi ce rire glace et tord les entrailles. C'est un rire qui ne dort jamais, comme une maladie qui va toujours son chemin et exécute un ordre providentiel. Et ainsi le rire de Melmoth, qui est l'expression la plus haute de l'orgueil, accomplit perpétuellement sa fonction, en déchirant et en brûlant les lèvres du rieur résumons un peu, et établissons plus visiblement les propositions principales, qui sont comme une espèce de théorie du rire. Le rire est satanique, il est donc profondément humain. Il est dans l'homme la conséquence de l'idée de sa propre supériorité ; et, en effet, comme le rire est essentiellement humain, il est essentiellement contradictoire, c'est-à-dire qu'il est à la fois signe d'une grandeur infinie et d'une misère infinie, misère infinie relativement à l'Être absolu dont il possède la conception, grandeur infinie relativement aux animaux. C'est du choc perpétuel de ces deux infinis que se dégage le rire. Le comique, la puissance du rire est dans le rieur et nullement dans l'objet du rire. Ce n'est point l'homme qui tombe qui rit de sa propre chute, à moins qu'il ne soit un philosophe, un homme qui ait acquis, par habitude, la force de se dédoubler rapidement et d'assister comme spectateur désintéressé aux phénomènes de son moi. Mais le cas est rare. Les animaux les plus comiques sont les plus sérieux ; ainsi les singes et les perroquets. D'ailleurs, supposez l'homme ôté de la création, il n'y aura plus de comique, car les animaux ne se croient pas supérieurs aux végétaux, ni les végétaux aux minéraux. Signe de supériorité relativement aux bêtes, et je comprends sous cette dénomination les parias nombreux de l'intelligence, le rire est signe d'infériorité relativement aux sages, qui par l'innocence contemplative de leur esprit se rapprochent de l'enfance. Comparant, ainsi que nous en avons le droit, l'humanité à l'homme, nous voyons que les nations primitives, ainsi que Virginie, ne conçoivent pas la caricature et n'ont pas de comédies les livres sacrés, à quelques nations qu'ils appartiennent, ne rient jamais, et que, s'avançant peu à peu vers les pics nébuleux de l'intelligence, ou se penchant sur les fournaises ténébreuses de la métaphysique, les nations se mettent à rire diaboliquement du rire de Melmoth ; et, enfin, que si dans ces mêmes nations ultra-civilisées, une intelligence, poussée par une ambition supérieure, veut franchir les limites de l'orgueil mondain et s'élancer hardiment vers la poésie pure, dans cette poésie, limpide et profonde comme la nature, le rire fera défaut comme dans l'âme du le comique est signe de supériorité ou de croyance à sa propre supériorité, il est naturel de croire qu'avant qu'elles aient atteint la purification absolue promise par certains prophètes mystiques, les nations verront s'augmenter en elles les motifs de comique à mesure que s'accroîtra leur supériorité. Mais aussi le comique change de nature. Ainsi l'élément angélique et l'élément diabolique fonctionnent parallèlement. L'humanité s'élève, et elle gagne pour le mal et l'intelligence du mal une force proportionnelle à celle qu'elle a gagnée pour le bien. C'est pourquoi je ne trouve pas étonnant que nous, enfants d'une loi meilleure que les lois religieuses antiques, nous, disciples favorisés de Jésus, nous possédions plus d'éléments comiques que la païenne antiquité. Cela même est une condition de notre force intellectuelle générale. Permis aux contradicteurs jurés de citer la classique historiette du philosophe qui mourut de rire en voyant un âne qui mangeait des figues, et même les comédies d'Aristophane et celles de Plaute. Je répondrai qu'outre que ces époques sont essentiellement civilisées, et que la croyance s'était déjà bien retirée, ce comique n'est pas tout à fait le nôtre. Il a même quelque chose de sauvage, et nous ne pouvons guère nous l'approprier que par un effort d'esprit à reculons, dont le résultat s'appelle pastiche. Quant aux figures grotesques que nous a laissées l'antiquité, les masques, les figurines de bronze, les Hercules tout en muscles, les petits Priapes à la langue recourbée en l'air, aux oreilles pointues, tout en cervelet et en phallus, — quant à ces phallus prodigieux sur lesquels les blanches filles de Romulus montent innocemment à cheval, ces monstrueux appareils de la génération armée de sonnettes et d'ailes, je crois que toutes ces choses sont pleines de sérieux. Vénus, Pan, Hercule, n'étaient pas des personnages risibles. On en a ri après la venue de Jésus, Platon et Sénèque aidant. Je crois que l'antiquité était pleine de respect pour les tambours-majors et les faiseurs de tours de force en tout genre, et que tous les fétiches extravagants que je citais ne sont que des signes d'adoration, ou tout au plus des symboles de force, et nullement des émanations de l'esprit intentionnellement comiques. Les idoles indiennes et chinoises ignorent qu'elles sont ridicules ; c'est en nous, chrétiens, qu'est le ne faut pas croire que nous soyons débarrassés de toute difficulté. L'esprit le moins accoutumé à ces subtilités esthétiques saurait bien vite m'opposer cette objection insidieuse Le rire est divers. On ne se réjouit pas toujours d'un malheur, d'une faiblesse, d'une infériorité. Bien des spectacles qui excitent en nous le rire sont fort innocents, et non-seulement les amusements de l'enfance, mais encore bien des choses qui servent au divertissement des artistes, n'ont rien à démêler avec l'esprit de y a bien là quelque apparence de vérité. Mais il faut d'abord bien distinguer la joie d'avec le rire. La joie existe par elle-même, mais elle a des manifestations diverses. Quelquefois elle est presque invisible ; d'autres fois, elle s'exprime par les pleurs. Le rire n'est qu'une expression, un symptôme, un diagnostic. Symptôme de quoi ? Voilà la question. La joie est une. Le rire est l'expression d'un sentiment double, ou contradictoire ; et c'est pour cela qu'il y a convulsion. Aussi le rire des enfants, qu'on voudrait en vain m'objecter, est-il tout à fait différent, même comme expression physique, comme forme, du rire de l'homme qui assiste à une comédie, regarde une caricature, ou du rire terrible de Melmoth ; de Melmoth, l'être déclassé, l'individu situé entre les dernières limites de la patrie humaine et les frontières de la vie supérieure ; deMelmoth se croyant toujours près de se débarrasser de son pacte infernal, espérant sans cesse troquer ce pouvoir surhumain, qui fait son malheur, contre la conscience pure d'un ignorant qui lui fait envie. — Le rire des enfants est comme un épanouissement de fleur. C'est la joie de recevoir, la joie de respirer, la joie de s'ouvrir, la joie de contempler, de vivre, de grandir. C'est une joie de plante. Aussi, généralement, est-ce plutôt le sourire, quelque chose d'analogue au balancement de queue des chiens ou au ronron des chats. Et pourtant, remarquez bien que si le rire des enfants diffère encore des expressions du contentement animal, c'est que ce rire n'est pas tout à fait exempt d'ambition, ainsi qu'il convient à des bouts d'hommes, c'est-à-dire à des Satans en y a un cas où la question est plus compliquée. C'est le rire de l'homme, mais rire vrai, rire violent, à l'aspect d'objets qui ne sont pas un signe de faiblesse ou de malheur chez ses semblables. Il est facile de deviner que je veux parler du rire causé par le grotesque. Les créations fabuleuses, les êtres dont la raison, la légitimation ne peut pas être tirée du code du sens commun, excitent souvent en nous une hilarité folle, excessive, et qui se traduit en des déchirements et des pâmoisons interminables. Il est évident qu'il faut distinguer, et qu'il y a là un degré de plus. Le comique est, au point de vue artistique, une imitation ; le grotesque, une création. Le comique est une imitation mêlée d'une certaine faculté créatrice, c'est-à-dire d'une idéalité artistique. Or, l'orgueil humain, qui prend toujours le dessus, et qui est la cause naturelle du rire dans le cas du comique, devient aussi cause naturelle du rire dans le cas du grotesque, qui est une création mêlée d'une certaine faculté imitatrice d'éléments préexistants dans la nature. Je veux dire que dans ce cas-là le rire est l'expression de l'idée de supériorité, non plus de l'homme sur l'homme, mais de l'homme sur la nature. Il ne faut pas trouver cette idée trop subtile ; ce ne serait pas une raison suffisante pour la repousser. Il s'agit de trouver une autre explication plausible. Si celle-ci paraît tirée de loin et quelque peu difficile à admettre, c'est que le rire causé par le grotesque a en soi quelque chose de profond, d'axiomatique et de primitif qui se rapproche beaucoup plus de la vie innocente et de la joie absolue que le rire causé par le comique de mœurs. Il y a entre ces deux rires, abstraction faite de la question d'utilité, la même différence qu'entre l'école littéraire intéressée et l'école de l'art pour l'art. Ainsi le grotesque domine le comique d'une hauteur désormais le grotesque comique absolu, comme antithèse au comique ordinaire, que j'appellerai comique significatif. Le comique significatif est un langage plus clair, plus facile à comprendre pour le vulgaire, et surtout plus facile à analyser, son élément étant visiblement double l'art et l'idée morale ; mais le comique absolu, se rapprochant beaucoup plus de la nature, se présente sous une espèce une, et qui veut être saisie par intuition. Il n'y a qu'une vérification du grotesque, c'est le rire, et le rire subit ; en face du comique significatif, il n'est pas défendu de rire après coup ; cela n'argue pas contre sa valeur ; c'est une question de rapidité d' dit comique absolu ; il faut toutefois prendre garde. Au point de vue de l'absolu définitif, il n'y a plus que la joie. Le comique ne peut être absolu que relativement à l'humanité déchue, et c'est ainsi que je l' très-relevée du comique absolu en fait l'apanage des artistes supérieurs qui ont en eux la réceptibilité suffisante de toute idée absolue. Ainsi l'homme qui a jusqu'à présent le mieux senti ces idées, et qui en a mis en œuvre une partie dans des travaux de pure esthétique et aussi de création, est Théodore Hoffmann. Il a toujours bien distingué le comique ordinaire du comique qu'il appelle comique innocent. Il a cherché souvent à résoudre en œuvres artistiques les théories savantes qu'il avait émises didactiquement, ou jetées sous la forme de conversations inspirées et de dialogues critiques ; et c'est dans ces mêmes œuvres que je puiserai tout à l'heure les exemples les plus éclatants, quand j'en viendrai à donner une série d'applications des principes ci-dessus énoncés et à coller un échantillon sous chaque titre de nous trouvons dans le comique absolu et le comique significatif des genres, des sous-genres et des familles. La division peut avoir lieu sur différentes bases. On peut la construire d'abord d'après une loi philosophique pure, ainsi que j'ai commencé à le faire, puis d'après la loi artistique de création. La première est créée par la séparation primitive du comique absolu d'avec le comique significatif ; la seconde est basée sur le genre de facultés spéciales de chaque artiste. Et, enfin, on peut aussi établir une classification de comiques suivant les climats et les diverses aptitudes nationales. Il faut remarquer que chaque terme de chaque classification peut se compléter et se nuancer par l'adjonction d'un terme d'une autre, comme la loi grammaticale nous enseigne à modifier le substantif par l'adjectif. Ainsi, tel artiste allemand ou anglais est plus ou moins propre au comique absolu, et en même temps il est plus ou moins idéalisateur. Je vais essayer de donner des exemples choisis de comique absolu et significatif, et de caractériser brièvement l'esprit comique propre à quelques nations principalement artistes, avant d'arriver à la partie où je veux discuter et analyser plus longuement le talent des hommes qui en ont fait leur étude et leur exagérant et poussant aux dernières limites les conséquences du comique significatif, on obtient le comique féroce, de même que l'expression synonymique du comique innocent, avec un degré de plus, est le comique France, pays de pensée et de démonstration claires, où l'art vise naturellement et directement à l'utilité, le comique est généralement significatif. Molière fut dans ce genre la meilleure expression française ; mais comme le fond de notre caractère est un éloignement de toute chose extrême, comme un des diagnostics particuliers de toute passion française, de toute science, de tout art français est de fuir l'excessif, l'absolu et le profond, il y a conséquemment ici peu de comique féroce ; de même notre grotesque s'élève rarement à l' qui est le grand maître français en grotesque, garde au milieu de ses plus énormes fantaisies quelque chose d'utile et de raisonnable. Il est directement symbolique. Son comique a presque toujours la transparence d'un apologue. Dans la caricature française, dans l'expression plastique du comique, nous retrouverons cet esprit dominant. Il faut l'avouer, la prodigieuse bonne humeur poétique nécessaire au vrai grotesque se trouve rarement chez nous à une dose égale et continue. De loin en loin, on voit réapparaître le filon ; mais il n'est pas essentiellement national. Il faut mentionner dans ce genre quelques intermèdes de Molière, malheureusement trop peu lus et trop peu joués, entre autres ceux du Malade imaginaire et du Bourgeois gentilhomme, et les figures carnavalesques de Callot. Quant au comique des Contes de Voltaire, essentiellement français, il tire toujours sa raison d'être de l'idée de supériorité ; il est tout à fait rêveuse Germanie nous donnera d'excellents échantillons de comique absolu. Là tout est grave, profond, excessif. Pour trouver du comique féroce et très-féroce, il faut passer la Manche et visiter les royaumes brumeux du spleen. La joyeuse, bruyante et oublieuse Italie abonde en comique innocent. C'est en pleine Italie, au cœur du carnaval méridional, au milieu du turbulent Corso, que Théodore Hoffmann a judicieusement placé le drame excentrique de laPrincesse Brambilla. Les Espagnols sont très-bien doués en fait de comique. Ils arrivent vite au cruel, et leurs fantaisies les plus grotesques contiennent souvent quelque chose de garderai longtemps le souvenir de la première pantomime anglaise que j'aie vu jouer. C'était au théâtre des Variétés, il y a quelques années. Peu de gens s'en souviendront sans doute, car bien peu ont paru goûter ce genre de divertissement, et ces pauvres mimes anglais reçurent chez nous un triste accueil. Le public français n'aime guère être dépaysé. Il n'a pas le goût très-cosmopolite, et les déplacements d'horizon lui troublent la vue. Pour mon compte, je fus excessivement frappé de cette manière de comprendre le comique. On disait, et c'étaient les indulgents, pour expliquer l'insuccès, que c'étaient des artistes vulgaires et médiocres, des doublures ; mais ce n'étaitpas là la question. Ils étaient Anglais, c'est là l' m'a semblé que le signe distinctif de ce genre de comique était la violence. Je vais en donner la preuve par quelques échantillons de mes le Pierrot n'était pas ce personnage pâle comme la lune, mystérieux comme le silence, souple et muet comme le serpent, droit et long comme une potence, cet homme artificiel, mû par des ressorts singuliers, auquel nous avait accoutumés le regrettable Debureau. Le Pierrot anglais arrivait comme la tempête, tombait comme un ballot, et quand il riait, son rire faisait trembler la salle ; ce rire ressemblait à un joyeux tonnerre. C'était un homme court et gros, ayant augmenté sa prestance par un costume chargé de rubans, qui faisaient autour de sa jubilante personne l'office des plumes et du duvet autour des oiseaux, ou de la fourrure autour des angoras. Par-dessus la farine de son visage, il avait collé crûment, sans gradation, sans transition, deux énormes plaques de rouge pur. La bouche était agrandie par une prolongation simulée des lèvres au moyen de deux bandes de carmin, de sorte que, quand il riait, la gueule avait l'air de courir jusqu'aux au moral, le fond était le même que celui du Pierrot que tout le monde connaît insouciance et neutralité, et partant accomplissement de toutes les fantaisies gourmandes et rapaces au détriment, tantôt de Harlequin, tantôt de Cassandre ou de Léandre. Seulement, là où Debureau eût trempé le bout du doigt pour le lécher, il y plongeait les deux poings et les deux toutes choses s'exprimaient ainsi dans cette singulière pièce, avec emportement ; c'était le vertige de l' passe devant une femme qui lave le carreau de sa porte après lui avoir dévalisé les poches, il veut faire passer dans les siennes l'éponge, le balai, le baquet et l'eau elle-même. — Quant à la manière dont il essayait de lui exprimer son amour, chacun peut se le figurer par les souvenirs qu'il a gardés de la contemplation des mœurs phanérogamiques des singes, dans la célèbre cage du Jardin-des-Plantes. Il faut ajouter que le rôle de la femme était rempli par un homme très-long et très-maigre, dont la pudeur violée jetait les hauts cris. C'était vraiment une ivresse de rire, quelque chose de terrible et d' je ne sais quel méfait, Pierrot devait être finalement guillotiné. Pourquoi la guillotine au lieu de la pendaison, en pays anglais ?… Je l'ignore ; sans doute pour amener ce qu'on va voir. L'instrument funèbre était donc là dressé sur des planches françaises, fort étonnées de cette romantique nouveauté. Après avoir lutté et beuglé comme un bœuf qui flaire l'abattoir, Pierrot subissait enfin son destin. La tête se détachait du cou, une grosse tête blanche et rouge, et roulait avec bruit devant le trou du souffleur, montrant le disque saignant du cou, la vertèbre scindée, et tous les détails d'une viande de boucherie récemment taillée pour l'étalage. Mais voilà que, subitement, le torse raccourci, mû par la monomanie irrésistible du vol, se dressait, escamotait victorieusement sa propre tête, comme un jambon ou une bouteille de vin, et, bien plus avisé que le grand saint Denis, la fourrait dans sa poche !Avec une plume tout cela est pâle et glacé. Comment la plume pourrait-elle rivaliser avec la pantomime ? La pantomime est l'épuration de la comédie ; c'en est la quintessence ; c'est l'élément comique pur, dégagé et concentré. Aussi, avec le talent spécial des acteurs anglais pour l'hyperbole, toutes ces monstrueuses farces prenaient-elles une réalité singulièrement des choses les plus remarquables comme comique absolu, et, pour ainsi dire, comme métaphysique du comique absolu, était certainement le début de cette belle pièce, un prologue plein d'une haute esthétique. Les principaux personnages de la pièce, Pierrot, Cassandre, Harlequin, Colombine, Léandre, sont devant le public, bien doux et bien tranquilles. Ils sont à peu près raisonnables et ne diffèrent pas beaucoup des braves gens qui sont dans la salle. Le souffle merveilleux qui va les faire se mouvoir extraordinairement n'a pas encore soufflé sur leurs cervelles. Quelques jovialités de Pierrot ne peuvent donner qu'une pâle idée de ce qu'il fera tout à l'heure. La rivalité de Harlequin et de Léandre vient de se déclarer. Une fée s'intéresse à Harlequin c'est l'éternelle protectrice des mortels amoureux et pauvres. Elle lui promet sa protection, et, pour lui en donner une preuve immédiate, elle promène avec un geste mystérieux et plein d'autorité sa baguette dans les le vertige est entré, le vertige circule dans l'air ; on respire le vertige ; c'est le vertige qui remplit les poumons et renouvelle le sang dans le que ce vertige ? C'est le comique absolu ; il s'est emparé de chaque être. Léandre, Pierrot, Cassandre, font des gestes extraordinaires, qui démontrent clairement qu'ils se sentent introduits de force dans une existence nouvelle. Ils n'en ont pas l'air fâché. Ils s'exercent aux grands désastres et à la destinée tumultueuse qui les attend, comme quelqu'un qui crache dans ses mains et les frotte l'une contre l'autre avant de faire une action d'éclat. Ils font le moulinet avec leurs bras, ils ressemblent à des moulins à vent tourmentés par la tempête. C'est sans doute pour assouplir leurs jointures, ils en auront besoin. Tout cela s'opère avec de gros éclats de rire, pleins d'un vaste contentement ; puis ils sautent les uns par-dessus les autres, et leur agilité et leur aptitude étant bien dûment constatées, suit un éblouissant bouquet de coups de pied, de coups de poing et de soufflets qui font le tapage et la lumière d'une artillerie ; mais tout cela est sans rancune. Tous leurs gestes, tous leurs cris, toutes leurs mines disent La fée l'a voulu, la destinée nous précipite, je ne m'en afflige pas ; allons ! courons ! élançons-nous ! Et ils s'élancent à travers l'œuvre fantastique, qui, à proprement parler, ne commence que là, c'est-à-dire sur la frontière du et Colombine, à la faveur de ce délire, se sont enfuis en dansant, et d'un pied léger ils vont courir les un exemple celui-là est tiré d'un auteur singulier, esprit très-général, quoi qu'on en dise, et qui unit à la raillerie significative française la gaieté folle, mousseuse et légère des pays du soleil, en même temps que le profond comique germanique. Je veux encore parler d' le conte intitulé Daucus Carota, le Roi des Carottes, et par quelques traducteurs la Fiancée du roi, quand la grande troupe des Carottes arrive dans la cour de la ferme où demeure la fiancée, rien n'est plus beau à voir. Tous ces petits personnages d'un rouge écarlate comme un régiment anglais, avec un vaste plumet vert sur la tête comme les chasseurs de carrosse, exécutent des cabrioles et des voltiges merveilleuses sur de petits chevaux. Tout cela se meut avec une agilité surprenante. Ils sont d'autant plus adroits et il leur est d'autant plus facile de retomber sur la tête, qu'elle est plus grosse et plus lourde que le reste du corps, comme les soldats en moelle de sureau qui ont un peu de plomb dans leur malheureuse jeune fille, entichée de rêves de grandeur, est fascinée par ce déploiement de forces militaires. Mais qu'une armée à la parade estdifférente d'une armée dans ses casernes, fourbissant ses armes, astiquant son fourniment, ou, pis encore, ronflant ignoblement sur ses lits de camps puants et sales ! Voilà le revers de la médaille ; car tout ceci n'était que sortilége, appareil de séduction. Son père, homme prudent et bien instruit dans la sorcellerie, veut lui montrer l'envers de toutes ces splendeurs. Ainsi, à l'heure où les légumes dorment d'un sommeil brutal, ne soupçonnant pas qu'ils peuvent être surpris par l'œil d'un espion, le père entr'ouvre une des tentes de cette magnifique armée ; et alors la pauvre rêveuse voit cette masse de soldats rouges et verts dans leur épouvantable déshabillé, nageant et dormant dans la fange terreuse d'où elle est sortie. Toute cette splendeur militaire en bonnet de nuit n'est plus qu'un marécage pourrais tirer de l'admirable Hoffmann bien d'autres exemples de comique absolu. Si l'on veut bien comprendre mon idée, il faut lire avec soinDaucus Carota, Peregrinus Tyss, le Pot d'or, et surtout, avant tout, la Princesse Brambilla, qui est comme un catéchisme de haute qui distingue très-particulièrement Hoffmann est le mélange involontaire, et quelquefois très-volontaire, d'une certaine dose de comique significatif avec le comique le plus absolu. Ses conceptions comiques les plus supra-naturelles, les plus fugitives, et qui ressemblent souvent à des visions de l'ivresse, ont un sens moral très-visible c'est à croire qu'on a affaire à unphysiologiste ou à un médecin de fous des plus profonds, et qui s'amuserait à revêtir cette profonde science de formes poétiques, comme un savant qui parlerait par apologues et si vous voulez, pour exemple, le personnage de Giglio Fava, le comédien atteint de dualisme chronique dans la Princesse Brambilla. Ce personnage un change de temps en temps de personnalité, et, sous le nom de Giglio Fava, il se déclare l'ennemi du prince assyrien Cornelio Chiapperi ; et quand il est prince assyrien, il déverse le plus profond et le plus royal mépris sur son rival auprès de la princesse, sur un misérable histrion qui s'appelle, à ce qu'on dit, Giglio faut ajouter qu'un des signes très-particuliers du comique absolu est de s'ignorer lui-même. Cela est visible, non-seulement dans certains animaux du comique desquels la gravité fait partie essentielle, comme les singes, et dans certaines caricatures sculpturales antiques dont j'ai déjà parlé, mais encore dans les monstruosités chinoises qui nous réjouissent si fort, et qui ont beaucoup moins d'intentions comiques qu'on le croit généralement. Une idole chinoise, quoiqu'elle soit un objet de vénération, ne diffère guère d'un poussah ou d'un magot de pour en finir avec toutes ces subtilités et toutes ces définitions, et pour conclure, je ferai remarquer une dernière fois qu'on retrouve l'idée dominante de supériorité dans le comique absolu comme dans le comique significatif, ainsi que je l'ai, trop longuement peut-être, expliqué ; — que, pour qu'il y ait comique, c'est-à-dire émanation, explosion, dégagement de comique, il faut qu'il y ait deux être en présence ; — que c'est spécialement dans le rieur, dans le spectateur, que gît le comique ; — que cependant, relativement à cette loi d'ignorance, il faut faire une exception pour les hommes qui ont fait métier de développer en eux le sentiment du comique et de le tirer d'eux-mêmes pour le divertissement de leurs semblables, lequel phénomène rentre dans la classe de tous les phénomènes artistiques qui dénotent dans l'être humain l'existence d'une dualité permanente, la puissance d'être à la fois soi et un pour en revenir à mes primitives définitions et m'exprimer plus clairement, je dis que quand Hoffmann engendre le comique absolu, il est bien vrai qu'il le sait ; mais il sait aussi que l'essence de ce comique est de paraître s'ignorer lui-même et de développer chez le spectateur, ou plutôt chez le lecteur, la joie de sa propre supériorité et la joie de la supériorité de l'homme sur la nature. Les artistes créent le comique ; ayant étudié et rassemblé les éléments du comique, ils savent que tel être est comique, et qu'il ne l'est qu'à la condition d'ignorer sa nature ; de même que, par une loi inverse, l'artiste n'est artiste qu'à la condition d'être double et de n'ignorer aucun phénomène de sa double nature. News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 4,5 75202 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Le Roi Lion ? 1 129 critiques spectateurs 5 803 critiques 4 220 critiques 3 55 critiques 2 22 critiques 1 13 critiques 0 16 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Aujourd'hui, certains films d'animation Toy Story 3, Là-haut, pour ne citer qu'eux ... font encore des merveilles. Mais faut se l'avouer ... si y'a une part de nostalgie qui joue dedans, j'ai quand même du mal à retrouver la grandeur du Roi Lion dans les films d'animation d'aujourd'hui. Ce dessin animé-ci est une perle. Pour ma part c'est mon préféré, mais j'avoue que je suis pas trop connaisseur du bestiaire de Disney, même si j'ai eu droit à mes quelques classiques quand j'étais petit. Aujourd'hui, le Roi Lion est une œuvre intacte. Oubliez les niaiseries déconcertantes de certains dessins animés, les films d'animation restreints aux moins de 10 ans. C'est une perle, une réussite atemporelle d'émotion, de liberté, d'enchantement, d'intensité. Tout le monde peut y trouver son compte ; il y a même l'un des méchants les plus badass de l'histoire du dessin animé, au sein d'un drame familial fort. On traine dans le dessin animé toujours adapté au public, sans trainer dans la guimauve, avec même ses propres moments de noirceur. Cadencé par une BO épique et des chansons cultes Celle de Scar est simplement redoutable, Le Roi Lion dispose d'un doublage VF excellent, ce qui est rare à dire. Au final, au milieu de tous ces personnages intéressants, dur d'admettre qu'on puisse ressortir indemne d'un tel dessin animé. La puissance viscérale de Disney a encore fait un bijou qui, 18 ans plus tard, reste gravé dans notre génération. Hakuna Matata tout le monde ! Voici le film considéré par beaucoup comme étant le meilleur Disney de tous les temps "Le Roi Lion". Dès sa sorti en 1994, ce dessin animé a eu un immense succès mondial et français, et c'est absolument mérité ! "Le Roi Lion" est sans conteste l'un des plus beaux chef-d'œuvres du studio aux grandes oreilles. La recette est simple et a depuis été copiée à de très nombreuses reprises des personnages attachants, des décors somptueux dessinés à la main, des musiques et chansons belles et faciles à retenir et bien sur une histoire émouvante et drôle à la fois. "Le Roi Lion" cumule tous ces ingrédients et les mélange pour en faire un magnifique film comme il n'en sort plus. Pour ce qui est des personnages attachants, Simba l'est à 100%, comme Timon et Pumba. Les décors sont évidemment d'une beauté à couper le souffle, on se croirait en Afrique du début à la fin. La musique est composée par un inconnu à l'époque, un certain Hans Zimmer Il était aidé par un chanteur célère, un certain Elton John. Les chansons sont toutes merveilleuses, tout le monde a un jour chantonné "Hakuna Matata". Enfin, pour ce qui est de l'histoire, elle est simplement parfaite. On suit Simba de sa naissance à sa vie adulte, on pleure à chaque fois qu'on revoit le film les connaisseurs sauront de quelle scène je veux parler et on rit aussi notamment grâce au duo Timon et Pumba. A noter une VF excellente avec Jean Reno en Mufasa et Emmanuel Curtil voix de Jim Carrey en Simba adulte. "Le Roi Lion" est assurément le meilleur des Disney. HAKUNA MATATA ! " le roi lion " très grand classique des studios Disney . L'histoire se déroule sur les hautes terre d'Afrique ou règne un lion tout puissant nommer mufasa qui règne sur tout les animaux de la savane . Les animaux de la jungle le respectent et l' admirent pour sa sagesse et sa générosité. Son jeune fils Simba sait qu'un jour il lui succèdera . Mais scar le frère de mufasa rêve depuis toujour de monter sur le trône . Il va alors comploter contre mufasa et Simba pour devenir roi ... " le roi lion " est sans conteste l'un des meilleure films des studios Disney et l'un des plus grands film d'animations tout cour . Le roi lion connu un succès planétaire lors de sa sortie en 1994 il y a 20 ans déjà pour devenir le dessin animée le plus rentable de tout les temps a l'époque . Rien qu'en France le film a attirer plus de 10 millions de spectateurs . L'histoire est très prenante . Un film a la fois drôle et émouvant . Les personnages sont très attachant . L'animation est très réussit. Les dessins sont superbes , vraiment magnifique et très détaillé . Les terres d'Afrique sont superbement bien dessiné . On s'y évade avec plaisir . Sans oublier une bande son magnifique remplit de chanson culte c'est l'histoire de la vie , hakuna matata ... qui donne la pêche avec nottament la superbe chanson de elton jonh . Un dessin animée qui a bercer mon enfance comme pas mal de gosses de ma génération qui on grandit dans les années 90 . L'une des plus belle réussite des studios disney . Le Roi Lion est, et personne ne pourra jamais le nier, le meilleur dessin animé Walt Disney de tous les temps!!!!!!!!!!!!!! Peut-être même le meilleur film d'animation de tous les temps!!!!!!!!!!!!!!!!!! Vous me connaissez ou peut-être pas , je suis complètement gaga de Disney, je suis un immense fan et j'apprécie chaque film d'animation original des studios en question qui sort au cinéma!!!! Et comme beaucoup de monde, s'il y a bien un Disney qui nous a tous marqué pendant de longues années, même encore aujourd'hui, c'est Le Roi Lion!!!!! Alors, premièrement, l'animation est époustouflante!!!!!! Avant tout grâce aux couleurs particulièrement maîtrisées et qui nous donnent une image resplendissante de la savane africaine!!!! Et comme dans chaque Disney, ce qui fait avant tout le charme des personnages, c'est bien entendu l'originalité et le style du design, et c'est encore le cas ici!!!! Simba est presque devenu un symbole pour chaque personne existant au monde! Qui d'entre nous ne pense pas à Simba en voyant un lionceau ou même juste un lion?! On craque pour lui dès les premières secondes où il est dans les pattes de sa mère Impossible donc de ne pas s'y attacher quand il est enfant! Et même adulte, son physique est impressionnant et lui aussi culte! Pour Nala, bravo Disney! Vous avez réussi à me faire bander sur une lionne dès mon enfance! Et dessinée en plus!!! Encore un design de toute beauté! Scar a également un design culte, qui ne pense pas à Scar en voyant un lion avec des poils noirs? Ce parti pris par Disney en fait un look brillant! Et pour les personnages secondaires, ils sont tous très riches en couleur! Comme Timon, Pumbaa, Rafiki ou encore Zazu! Les effets numériques rajoutés à l'animation 2D garantissent également le spectacle!!! Cela donne de magnifiques effets de lumières sur plusieurs plans lors des chansons!!!! Mais maintenant que j'ai traité de l'animation, parlons du VRAI, DE L'ÉNORME, DE L'IMMENSE point fort du Roi Lion LA MUSIQUE DE HANS ZIMMER ET LES CHANSONS D'ELTON JOHN!!!!!!!!!!!!!!!!!! Bordel de merde!!!!! Voilà la plus grande musique jamais composée pour un film d'animation!!!!!! Je me souviens de chaque morceau de chaque moment à chaque seconde!!!!! Tous les thèmes qu'a créé Hans Zimmer pour Le Roi Lion sont inoubliables!!!!!!!!!! Tellement puissants et tellement forts en émotion!!!!!! Le Roi Lion est, si ça se trouve, la meilleure musique qu'a jamais composé Hans Zimmer!!!! Et que dire des chansons!!!! " L'Histoire de la Vie " fait démarrer le film par un flamboyant défilé d'espèces animalières d'Afrique et nous annonce immédiatement que ce dessin animé va tout repousser!!!! " Je voudrai déjà être roi " a un rythme d'enfer! " Soyez prêtes " est une chanson de méchant géniale!!! " L'Amour brille sous les étoiles " est une chanson destinée à l'amour entre Simba et Nala juste magnifique et parfaitement orchestrée! Et bien entendu, comment ne pas parler d'une des chansons les plus cultes de notre histoire " Hakuna Matata "!!!! Voilà une chanson qui mérite son succès aussi populaire! Grâce à son rythme endiablé et à sa mélodie bluffante d'inventivité, il est impossible de ne pas l'adorer à moins de n'avoir aucun goût!!!!!!! Une bande originale qui restera parmi les plus grandes de l'histoire du cinéma!!!!! Aucun souci côté doublages français! Emmanuel Curtil, Jean Reno, Jean Piat, Sybille Tureau, Michel Elias, Jean-Philippe Puymartin, Med Hondo, Michel Prud'homme, Marie-Christine Darah, Michel Mella, Dimitri Rougeul. Tous méritent d'être cités pour leurs performances exceptionnelles!!!!! Et en ce qui concerne l'histoire, l'humour et l'émotion, Disney ne nous a jamais autant gâtés!!!!!! Grâce à des personnages très charismatiques Simba et Nala forment un couple Disney excellent, Scar est un méchant tellement impitoyable et machiavélique qu'il en est incroyablement intéressant, Timon et Pumbaa sont 2 comparses inoubliables, Rafiki est un sage complètement loufoque et donc très appréciable, tout comme Zazu qui est bien sympathique, les hyènes sont très marrantes et Mufasa a une posture et une carrure si fortes qu'il est captivant, un peu comme Le Grand Prince dans Bambi. Aucun problème sur l'humour, Disney a su trouver le juste équilibre entre humour pour enfants et humour pour adultes, il y en an donc pour tout le monde! Et on rira très souvent!!!! Mais on sera également très souvent la larme à l'oeil!!! Avant tout quand Mufasa meurt sous les yeux de Simba et que Simab essaie de le réveiller!!! J'ai fait le tour. Je pense donc je suis même sûr que mon avis est similaire à celui d'une immense majorité de spectateurs. En même temps, ceci est l'apothéose des productions Disney!!!!! Le Roi Lion a été, est, et restera à jamais le dessin animé le plus brillant qu'on ai vu au cinéma!!!!!! Le Roi Lion ! 32ieme film d'animation, le deuxième plus grand succès Disney le premier étant Blanche-Neige ainsi que l'apothéose du second age d'or ! Ce film a marqué les générations à vie et rare sont les Disney capable d'un tel exploit. Inspiré d'Hamlet avec des références au Roi Léo, l'histoire va vous transporter dans l'univers de la savane pour vous expliquer le but du Cycle de la Vie !Simba Il est difficile de le décrire puisqu'il vient juste de naitre, je dirais que nous les spectateurs sommes Simba jeune puisqu'on découvre avec lui la Terre des Lions. On y apprend avec lui les traditions, les règles et le fonctionnement grâce à son paternel, Mufasa. Puis lorsque Simba sait ce qu'il veut devenir, on se détache de lui pour suivre sa propre évolution. Et un bravo pour Emmanuel Curtil pour sa Grand monarque tout puissant, incontesté et roi soleil ! Euh, on dirait l'allégorie animale de Louis 16 ?! Bon, revenons à nos gazelles. Il est comme père pour nous aussi puisqu'il nous enseigne tout ce qu'on doit savoir. Un père, qui comme avec Simba, nous avertit du danger, nous aime et nous protège. Au final, on a une grosse sympathie pour ce personnage. C'est à ce moment où on considère Mufasa comme notre père que Disney tente pour la première fois dans le monde de l'animation Montrer un personnage mourir !! Vous vous souvenez de la mère de Bambi, c'est exactement pareil sauf que là, on vous la montre prendre la balle et s'écrouler ! Cette scène forte de sa mort qui suit directement avec l'une des scènes les plus spectaculaire qu'est la Course des Gnous qui est un exploit grandiose est tellement intense qu'il est impossible de ne pas pleurer ! Le soleil de sa vie a laisser place à la nuit de Scar !Scar Si Mufasa était le côté majesté de Louis 16, Scar est sans nul doute le côté dictateur ! Sa grande force réside en son charisme et son intelligence machiavélique. Il a une telle fourberie dans ses gestes et son ombre qui grandit jusqu'à révéler son vrai visage que s'en est terrifiant. Le seul défaut de ce méchant qui pourrait facilement être dans les meilleures places d'un top, c'est qu'il est intéressant avant de devenir roi. Après son plan achevé, il devient une sorte de diva capricieuse. C'est dommage surtout qu'une scène coupée aurait pu esquiver cela. Normalement, il voulait épouser Nala, ami d'enfance de Simba, pour que son héritage perdure à travers sa lignée pour devenir immortel. Tout ça accompagné d'une reprise de Soyez prêtes ! Mais bon, c'est quand même un grand méchant avec une voix des plus envoutantes, merci Jean et Pumbaa Ils sont l'élément comique du film et niveau gag, c'est assuré notemment avec la scène d'imitation hawaienne. Bon, ça dépasse pas les pitreries du Génie mais c'est deux là on réussit à avoir une série et un film à eux tout seul ! En plus, Puymartin et Michel Elias forment un duo du Dans toutes histoires, il y a chaque fois un gourou ou un sage un peu maboul, mais là, ce babouin atteint un niveau qui fait rire tellement c'est génial. Med Hondo sait très bien interprété les rires excentriques. La particularité de ce sage c'est que quand il explique une chose philosophie, il la démontre comme "on apprend de ses erreurs et du passé".Le vieux Rafiki l'exprime si bien, de même pour Timon de manière plus cool le message du film est "le passé, c'est du passé ! Sans pour autant oublier qui on est !"C'est face à cela que Simba doit faire face, il a la mort de son père sur la conscience et donc il rejette son sang, il rejette son identité pour en forger une nouvelle en suivant une nouvelle voie. Et comme on ne peut revenir en arrière, on peut soit fuir ou se battre. La première est certes facile mais douloureuse alors que la deuxième est peut-être difficile mais au moins, on est fier d'affronter ses beau message ....Si c'était Simba lui-même qui tuait son père par accident bien sur mais là, c'est Scar donc Simba s'est culpabiliser pour rien !Animation Un succès aussi conséquent qu'est le Roi Lion, l'animation d'une extrême qualité est aussi au rendez-vous ! J'ai du mal à critiquer puisque Disney ne fait quasiment aucune erreur dans ses classiques. Rien que la scène d'ouverture montre le talent avec l'animation de plus d'une dizaine d'animaux Savane, Cimetière d'éléphant, Jungle exotique. C'est l'Afrique !! Toute la beauté de la savane africaine est représenté dans toute sa splendeur. Même les ossements du cimetière sont si bien illustrés qu'on a des frissons. Et la jungle est un véritable paradis ! C'est classique mais j'aime bien comme quoi la Terre des Lions change d'ambiance avec la lumière de Mufasa et l'obscurité de Que ce soit les chants,les instruments et le rythme, on se sent transporté par les mélodies Cycle de la vie Introduction à l'univers du film en nous balançant directement les chants africains. C'est un tout autre monde qui s'ouvre à nous avec ce soleil levant. Le titre de la chanson nous indique aussi bien l'un des messages du film. Je voudrais déjà être roi D'abord, sachez que Mufasa devait avoir sa chanson montrant toutes les responsabilités, les pouvoirs du roi ainsi que le respect du peuple envers lui. Cette chanson a été coupée mais je trouve qu'elle aurait pu être gardé car après une telle démonstration des privilèges d'un roi, Simba aurait été tout excité à l'idée de vite devenir roi à son tour. Ca aurait donc une meilleure justification pour qu'il chante son envie. On remarquera que le décor devient plus coloré et plus fantaisiste, c'est normal puisqu'on est dans l'esprit de Simba qui est encore jeune imaginant les animaux plus cartoonesque lui Prêtes la célèbre chanson de Scar où il expose ses idéaux. A certains moment, Scar s'apparenterait à Hitler ! Cette chanson a des allures de discours comme ceux du fureur, c'est à la fois puissant, mémorable avec une excellente mise en scène avec l'ascension de Scar pour avoir un plan face à la lune montrant qu'il est roi de la nuit et qu'elle va bientôt s'abattre sur le Matata Voulant dire "il n'y a aucun problème". Devise qui deviendra celle de Simba qui a renié son ancienne vie et donc ses traditions. C'est la chanson de la solution "fuite".L'amour brille sous les étoiles Autant c'est mignon de voir deux gros chats ronronner autant cette chanson est dispensable. Désolé mais le Roi Lion est une histoire de trahison, de combattre son passé et non un histoire d'amour. Pour ma part, ça aurait mieux fonctionner si Mufasa avait raconté à son fils comment il a rencontré sa femme dans un petit coin de paradis. Si on suit le thème du Cycle de la vie comme quoi tout n'est qu'un cercle qui tourne en répétant les même geste comme la course du soleil ou la chaine alimentaire. Ben, Simba reproduirait la même chose avec Nala et justifierai donc l'ambiance romantique des Joie et humour avec le duo comique ainsi que la jeunesse de Simba, grande tristesse avec la mort de Mufasa et frissons avec Scar au début et les hyènes qui deviennent effrayantes vers la finAvis personnel Malgré quelques points qui affaiblissent certaines choses, cela reste du grand L'un des meilleurs film d'animation de l'Histoire et cela pour des siècles. Un très beau dessin animé qui nous entraîne dans une savane africaine aux couleurs chatoyantes. A la fois belle, drôle et émouvante, l’histoire passionne et enchante. Les personnages, exclusivement des animaux, sont tous très travaillés et attachants. Une jolie réussite qui s’appuie également sur une merveilleuse bande originale interprétée par Elton John. On y retrouve la grandeur et la magie des premiers Disney ! Un classique indétrônable ! S'il ne fallait retenir qu'un seul Disney ce serait évidemment celui-là. Le Roi Lion est un film splendide, porteur d'une histoire et d'une morale universelles. C'est aussi une prouesse technique au niveau des dessins. Impossible de retenir ses larmes face à un tel chef d'œuvre que l'on ne se lasse pas encore et encore de regarder ! Énorme succès critique et commerciale si bien qu'il est ressorti en 3D, Le Roi Lion est l'un des films du genre qui ont rapportés le plus d'argent. Nominé aux Oscars pour ses chansons, ce film d'animation est considéré comme culte ! Mais ce long-métrage d'animation n'est-il pas juste chef-d’œuvre parmi tant d'autres sorties durant la même période ? Bien sur que NON ! Le Roi Lion fait parti de ces chef-d’œuvre qui se démarquent si bien qu'il fait parti des 10 meilleurs films d'animations au monde et que c'est l'un des 2 meilleurs Disney jamais réalisés selon moi ! Le meilleur point du film, et tout le monde est d'accord là-dessus, c'es l'extraordinaire, la cultissime bande originale avec notamment les chansons The Circle of Life L'Histoire de la Vie, Be Prepared Soyez Prêtes, Hakuna Matata et Can you Feel the Love Tonight ? que j'ai trouvé émouvante, joyeuse, triste, énergétique ect... Le doublage, qu'il soit anglais ou français est vraiment super à vrai dire, je crois que c'est le meilleur doublage que j'ai entendu dans un film d'animation Disney. Le scénario est parfaitement et incontestablement bien ficelé ! Alors que dans certains Disney, les dialogues peuvent sembler un peux niais, dans ce film, ces derniers sont très bons. Le discours de propagande de Scar est une scène musicale qui a fait beaucoup polémique, personnellement, je ne sais pas trop quoi penser de ses références mais c'est sûr que Soyez prêtes n'est pas qu'une simple chanson, que c'est une scène osée qui aurait pu être modifiée lors du montage final . Pour ce qui est de l'animation, elle est énorme les paysages sont magnifiques, c'est vraiment du beau travail ! Alors en 3D malheureusement, je n'ai pas fait l'expérience de voir ce long-métrage en trois dimensions, si elle est bonne, le spectateur doit être sûrement être transporté dans la savane africaine ! Pour finir, les personnages sont attachants Simba enfant/adulte, Mufasa, Nala enfant/adulte, Sarabi, Rafiki, drôles Zazu, Timon et Pumbaa, crazy les trois hyènes Shenzi, Banzai et Ed et perfides Scar ; en un mot, ils ont tous été travaillés. Bref, pour tout les points positifs que je viens de citer et encore, il m'en reste en réserve si vous n'êtes pas convaincu, Le Roi Lion fait parti de ces films cultes des années 1990 voir absolument ! Le roi lion est le plus gros succès du studio disney animation. Le film datant de 1994 me fait regretter l'animation 2 d. L'animation est sublime dans son ensemble. Les expressions des personnages sont vraiment soignées ainsi que leurs mouvements.. Cependant, le scénario est assez basique et les chansons assez niaises surtout en français, malgré la bande original mélangeant musique africaine, flûte et violon de Hans Zimmer. Le film traite la thématique du pouvoir est de la succession héritage. On a bien vu que mufasa le roi Lion fait l'éloge de sa monarchie et de son territoire, à l'opposé de son frère scar qui représente la dictature des nazis. On remarque également que l'Amérique religieuse est toujours présente dans ce genre de films avec le baptême du lion, du singe spirituel. Un fim d'animation tout a fait acceptable qui est considéré comme un film culte de nos jours. 7/10 A mon humble avis,"le Roi Lion"1994n'est rien moins que le meilleur Disney de l'ère modernehistoire d'éviter de le comparer à d'autres chefs d'oeuvre du studio.Ceux de ma génération ont grandis du le voir une dizaine de connais les dialogues par coeur,et même les changements de ne pas y être sensible,même devenu adulte?Cette représentation imagée de la savane africaine et de ses animaux exotiques séduit toujours est flagrant que cet animé déborde d'inventivité,de virtuosité,d'humour et d' dessine en filigrane le poids d'assumer son héritage,de ne pas décevoir ses on peut aussi le voir comme l'irréversibilité de la chaîne animalière et jeune lionceau Simba,subira au forceps un apprentissage accéléré de la vie,après la mort de son père devra affronter son oncle fourbe,Scar,un des méchants les plus vils qu'on ait pu atteint des niveaux très élevés,notamment cette impressionnante séquence où un troupon de gnous sauvages dévale un bande-son est un festival de tubes en puissance,grâce au concours d'Elton John,avec "C'est l'histoire de la vie","Hakuna Matata" ou "Soyez prêtes".Le grand écart des émotions est effectué,et les personnages tous très typiques et référence immuable de l'animation 2D. Un Véritable Must. Aprés les incontournables Aladdin et La Belle & La Bête,Les Studios Disney frappe encore plus fort avec leur nouveaux Bijoux qui nous emmène cette fois dans les magnifiques savanes africaines qui changea a tout jamais l'histoire de l'animation. Pour Commencer la Mise en Scéne est Époustouflante grâce a des Graphismes stupéfiants ainsi que des Décors qui d'une beauté resplendissante et qui sont servi par une BO magique signée Hans Zimmer et Elton John qui signent des partitions musicales frémissantes mais également des Séquences Musicales Inoubliables comme Disney en n'a le secret. Ensuite l'Histoire est Captivante et magnifiquement Shakespearienne en parvenant a émerveillement tout au long des 1h30,ajouter a tout cela une sublime Introduction qui nous laisse sans voix en passant par quelques morceaux de Bravoure impressionnantes et puissante mais qui n'oublie pas pour autant son lot de Répliques devenus Cultes ainsi qu'une bonne dose D'Humour tout simplement Savoureux et par la même occasion une touche Dramatique qui manque pas de nous toucher au cœur dont notamment lors d'un des moments déchirants du long le film est rempli d'Animaux brillamment écrits et qui s’avèrent pour la plupart terriblement attachants dont le Doublage Français est Prodigieux tels que le personnage emblématique de Simba dont Emmanuel Curtil est formidable en prêtant ses traits a ce lionceau courageux et bienveillant, a ses cotés on retrouve le Charismatique et Sage roi Mufasa dont la voix de Jean Reno correspond merveilleusement au personnage sans oublier le frère de ce dernier en la personne du Perfide et Terrifiant Scar double par le grand Jean Piat qui excelle a merveille dans la peau cet antagoniste jaloux et manipulateur qui entre au panthéon des plus grands méchants Disney qui est accompagné de ses sbires que sont les Hyenes dont l’hilarant trio composer de Shenzi, Banzaï et Ed qui nous provoque quelques fous rires a chacune de leurs apparitions sans oublier d'autres personnages phares qui viennent fort heureusement prêter main forte a gouverner le royaume tels que l'irrésistible tandem former par Timon et Pumbaa ainsi que le sage Rafiki ainsi que le dévoue Zazu et la ravissante lionne Nala qui sont brillamment doubler respectivement par Med Hondo, Michel Elias,Jean-Philippe Puymartin,Michel Prud'homme et Sybille Tureau. En Conclusion,Le Roi Lion est incontestablement l'un des meilleurs Disney de la décennie en étant a la fois Majestueux,Hilarant,Émouvant et Épique dont le Succès Colossal est amplement mérite et qui mérite sans hésiter d'entrer au rang des plus grand classiques du cinéma d'animation a voir et revoir. Il m'a fallut attendre 21 ans avant de me décider à voir ce film d'animation considéré par certains comme le chef-d'oeuvre ultime de la maison Disney, le plus grand de tous les temps. Il faudrait que je revois les Disney de l'an 157 et même de la préhistoire pour m'en faire une idée. Pour le rythme, ça il y en a plus que ce qu'il faut. C'est du grand art. Itou pour les graphismes, couleurs et animation, même si on fait bien mieux aujourd'hui. Pour l'audio aussi c'est très bon, bien qu''il faut se coltiner plusieurs couches de chansons propagandistes. Et oui, dans la forme, tout est fait pour attirer. Sauf que, dans le fond, c'est horriblement manichéen! Un vrai Disney, quoi. Les gentils d'un côté, les méchants de l'autre. Puis on vous explique en long en large et en travers le système de la royauté. Un méchant Oscar ne sait pas diriger son royaume, un gentil Simba ou Mufasa si. Et on doit absolument prêter allégeance au gentil. En gros, tu nais autre chose que fils de roi, tu ne seras qu'un serviteur toute ta vie même si tu as les capacités pour en faire autre chose. Belle morale, non ?! Il y a 21 ans, j'aurais probablement apprécié sans trop me soucier de l'envers du décor. Mais avec l'âge, on ne voit plus les choses de la même manière. D'ailleurs, certains films de notre enfance et adolescence ne passent plus aujourd'hui. Ou bien juste pour la nostalgie. On vieillit, c'est certain. Mais on a facilement plus de recul et d'expérience pour faire la part des choses. Toujours cette aura autour du Roi Lion tout comme celle autour d'Aladdin, mais je ne comprends pas. C'est sympa oui d'accord mais ça ne casse pas des briques non plus, les chansons sont plutôt pénibles et la technique pas superbe en dehors de la séquence d'intro. Bref, un film d'animation correct qui usurpe très largement son statut de grand film Disney. Voyez et surtout lisez la version japonaise qui est l'originale de cette histoire si on zappe l'inspiration à Hamlet. Ecrite par Tezuka le père des mangas, bien plus riche et profonde que celle de Disney. Encore un Disney adoré étant jeune et que je ne peux plus regarder une fois adulte. Alors certes, c'est super beau et certaines scènes ont encore aujourd'hui vraiment de la gueule, parce que c'est super bien rythmé, parce que c'est remarquablement animé et parce qu'il y a une bande originale qui a vraiment du coffre... Mais quel enfer de voir ces satisfactions malmenée par tout ce que Disney peut faire de plus malsain ou horripilant. Et vas-y que je te claque des chansons en permanence... Et vas-y que je te multiplie les personnages grand-guignolesques qui font des grimaces et des prouts... Et surtout, vas-y que je te ressors des tiroirs les morales les plus réactionnaires du studio. Je suis désolé pour ceux qui adorent ce film et qui voient dans ces lignes l'un des pires parjures, mais pour moi cette intrigue est tout sauf un récit initiatique classique ! Ce film valorise en permanence le fait de se plier à l'autorité absolue, soit à celle du père, soit à celle du roi. Les choses ne vont jamais aussi bien que lorsqu'on se contente d'obéir aux ordres, de reproduire le modèle indéfiniment, sans rien n'y apporter de personnel ! Désolé, mais moi, constater qu'on me martèle durant tout le film qu'il n'y a que deux alternatives dans la vie ou la tyrannie de l'autorité illégitime, ou le despotisme éclairé des justes, moi ça me glace le sang. On a le droit de ne pas vouloir le voir, de rester sur l'image idolâtrée et innocente qu'on s'est faite de ce film étant jeune... Mais bon... Être critique à l'égard de ce qu'on a vu et adoré à un âge naïf, personnellement, c'est une posture qui ne me dérange pas du tout, et que j'ai même tendance à préférer... Voilà pourquoi je n'hésite pas à vous dire en guise de conclusion qu'on peut aisément se passer de ce "Roi Lion", surtout les plus jeunes... "Le Roi Lion" nous offre une belle animation, ainsi que de beaux décors. L'histoire est somme toute assez classique mais la VF est excellente, ainsi que les chansons interprétées une habitude des Disney. Un film agréable dont je n'ai jamais été fan mais qui reste un beau film surtout à notre plus jeune âge. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Le Roi Léo ジャングル大帝, Jungle Taitei?, littéralement L'empereur de la jungle » est une série d'animation japonaise adaptée du manga d'Osamu Tezuka Le Roi Léo paru entre 1950 et 1954. La série originale est composée de 52 épisodes de 22 minutes, produite par le studio Mushi Production et diffusée pour la première fois sur Fuji TV entre le 6 octobre 1965 et le 28 septembre 1966, immédiatement suivie de Léo, le nouveau grand empereur de la Jungle 新ジャングル大帝 進めレオ!, Shin Jungle Taitei Susume Leo?, composée de 26 épisodes diffusés entre le 5 octobre 1966 et le 29 mars 1967. Un remake de 52 épisodes est diffusé entre le 12 octobre 1989 et le 11 octobre 1990. La deuxième série a été doublée au Québec et diffusée dès le 11 septembre 1971 à la télévision de Radio-Canada[1], et rediffusée à partir du 15 septembre 1985 sur TVJQ. En France, la deuxième série est diffusée pour la première fois sous le titre Le Roi Léo en 1972 sur la première chaîne de l'ORTF, la première série en 1990 sur La Cinq, et la troisième reste inédite en VF. Synopsis Afrique, milieu du XXe siècle. Les hommes envahissent peu à peu les terres sauvages, mais Léo, un lion blanc se dresse face à eux pour préserver un espace de liberté pour que tous les animaux puissent vivre en paix. Un chasseur rusé enregistre la voix de Léo pour attirer et capturer sa compagne, Lisa. Celle-ci sert alors d'appât et Léo est tué tandis que la lionne, qui est pleine, est embarquée sur un bateau pour rejoindre un zoo. Le lionceau blanc, que sa mère a appelé Léo, naît à bord. La mère lui enseigne les idéaux de son père. Sur son ordre, Léo s'échappe de sa cage en passant à travers les barreaux, plonge dans la mer et réussit à regagner la rive à la nage… Genèse Séries animées Trois séries télévisées du Roi Léo ont été produites au Japon 1965 Le Retour du roi Léo ジャングル大帝, Jungle Taitei? 52 épisodes Première série télévisée animée japonaise en couleur. 1967 Le Roi Léo 新ジャングル大帝 進めレオ!, Jungle Taitei Susume Leo? 26 épisodes 1989 Jungle Taitei ジャングル大帝, littéralement L'empereur de la jungle »? 52 épisodes Série au graphisme plus moderne, inédite en France. Version française Au Québec, la diffusion du Roi Léo débute en septembre 1971 les samedis matins à Radio-Canada. En France, la deuxième série a été diffusée pour la première fois le 20 décembre 1972 sur la première chaîne de l'ORTF sous le titre Le Roi Léo. Elle est rediffusée sur TF1, en 1976 dans Samedi est à vous et en 1978 dans Acilion et sa bande. Le 17 septembre 1990, La Cinq diffuse la première série, jusque-là inédite en France, dans Youpi ! L'école est finie, sous le titre Le Retour du roi Léo, puis enchaîne sur la deuxième série dont le générique et le doublage ont été changés. La série avec le nouveau doublage est rediffusée durant la saison 1994-1995 sur TF1 dans le Club Dorothée et en 1996 dans Les Minikeums sur France 3. Contexte de diffusion Quand il apparaît sur le petit écran français en 1972, Le Roi Léo est le premier dessin animé japonais à être diffusé en France, bien avant la vague de Goldorak 1978, Candy 1978 et Albator 1980. D'un genre nouveau, ce dessin animé tranchait sur les productions animées américaines ou européennes un sujet sérieux avec un ton souvent pessimiste[Note 1]. Les génériques en français Le générique de début Le premier générique de 1971 reprend le générique de fin japonais, mais la chanson japonaise a été traduite en français. C'est la chanteuse québécoise Isabelle Pierre qui est l'interprète de ce premier générique. Le second générique de 1990 est interprété par Claude Lombard "Le retour de Léo" dont la base musicale provient de la version originale italienne de l’émission télévisée "Sabato Al Circo" interprétée par Cristina d'Avena qui a notamment chanté le générique de début du dessin animé "Princesse Sarah"[2]. Le générique de fin Le premier générique de 1971 reprend le générique de début japonais. À l'instar d'autres pays, la France avait choisi d'inverser les génériques. Liste des épisodes en français Diffusion en France de la deuxième série en 1972 La Première Aventure Titre inconnu Le Lion bleu La Dernière Chasse des pygmées Titre inconnu Titre inconnu Titre inconnu Le Secret de la pierre de lune Titre inconnu Titre inconnu Titre inconnu Titre inconnu Titre inconnu Le Tombeau solitaire Titre inconnu Le Monstre noir Les Chutes du diable Titre inconnu La Tanière Le Précipice Titre inconnu Le Menhir Le Loup argenté L’Île mystérieuse L’Empreinte de la mort Titre inconnu Diffusion en France de la première série en 1990 La Naissance de Léo Le Vent du désert L'École des animaux Les Chasseurs La Promesse La Sécheresse La Zizanie Le Nuage fou Le Tigre volant La menace venue du ciel La réserve Une question de survie La Chorale de la jungle L'Histoire du Dieu Lion La Valse des œufs La Rivière en feu Le Serpent bleu La Médaille de Tim Une randonnée en safari-mobile Le Restaurant de Koko Le Retour de Sandy Le Vieux sage Le Monstre La Sorcière Sandy le petit éléphant La Viande végétale Louis le caméléon L'Ami encombrant La Plante maléfique La Poursuite La Grotte fantôme Le Dernier Chasseur Fuk l'hippopotame Le Retour de la panthère noire Le Piège La vallée perdue La Guerre de l'eau Un caractère volcanique La Horde sauvage Un vrai pot de colle Les Dieux de la Mort Le Message L'Ours en colère La Vallée de l'arc-en-ciel La Montagne blanche Un retour embarrassant Les Araignées géantes Les Fleurs rouges L'Arbre du soleil levant Otto l'aventurier Le Temple Le Vieux Lion Rediffusion en France de la deuxième série en 1990[Note 2] La Route secrète La Carte Le Lion bleu La Dernière Chasse Les Premiers Pas La Grande Vallée Tomé et l'arc d'or Le Secret de la lune bleue Les Oiseaux migrateurs Le Prédateur Les Voleurs Les Braconniers La Vallée des léopards Le Tombeau de glace L´Exclu Lily la panthère Les Chutes du démon Le Chemin de fer La Maison des animaux Le Barrage La Fièvre de l'or Le Patriarche Le Loup argenté Bill et Julie Les Tâches maléfiques La Montagne de Lune DVD En France, l'intégralité de la série a été éditée en cinq coffrets de quatre DVD par Déclic Image. Doublage Voix originales Yoshiko Ōta Léo Asao Koike Panja Noriko Shindō Eliza Gorō Naya Clave Hajime Akashi Tommy Hisashi Katsuta Mandy Junji Chiba Higeoyaji Kazuo Kumakura Dick Kazuyuki Sogabe Doug Keiko Matsuo Lyre Kinto Tamura Coco Kiyoshi Kawakubo Bou Voix françaises Premier doublage Le premier doublage a été effectué au Québec en 1971 par des comédiens québécois[3]. C'est le cas de nombreuses séries télévisées étrangères diffusées en France dans les années 1960-1970 Le Prince Saphir ; L'Araignée ; Cosmos 1999, etc.. On a longtemps cru que le premier doublage avait disparu. En réalité, il n'était plus autorisé depuis la promulgation de la loi française qui interdisait la diffusion et la commercialisation d'un doublage qui n'avait pas été effectué en France. Cette loi a été abrogée en 2014 et autorise désormais les doublages de langue française réalisés au Canada[4],[5],[6],[7] Alain Clavier Léo Isabelle Jean Liya Flora Balzano Rune Nicole Fontaine Rukio Second doublage Il a été effectué en France par les studios Sonolab et SOFI. Jackie Berger Léo, Alex Lionel Tua Kenny ; Léo adulte Georges Atlas Mandi ; oncle Arthur Jean-Pierre Leroux Tomy Maurice Sarfati Narrateur ; Koko Nathalie Schmidt Léa Anne Jarry Léa voix de remplacement, divers Mireille Audibert Marie/ Carla, Annie Serge Bourrier Kali voix principale ; oncle de Léo Fiche technique Les studios Disney et Le Roi Léo Un débat s'engagea à propos du film américain Le Roi lion 1994 pour déterminer à quel point les studios Disney s'étaient inspirés du manga d'Osamu Tezuka, créé bien avant la sortie de ce film[8]. Au Japon, le manga Le Roi Léo est publié de 1950 à 1954 puis adapté en série animée dès 1965, ce qui en fait la première série animée en couleurs du Japon. Une version doublée en anglais est conçue un an après[9]. Le lionceau blanc a perdu son nom d'origine, Léo, pour être baptisé Kimba » dans la version américaine. Cette série, Kimba the White Lion, rencontra un fort succès sur le sol américain. En 1994, les studios Disney connaissent le plus grand succès de leur histoire avec Le Roi lion, dans lequel le lionceau porte le nom de Simba. Si le scénario de Disney ne fait pas figurer l'intervention de l'homme, on trouve des similitudes avec l'œuvre de Tezuka, tant sur certains point du scénario, des personnages, que du découpage de certaines scènes phares.[10] Parmi les personnages créés par Tezuka, figurent, en plus du lionceau et de son père, roi des animaux au tragique destin un vieux babouin, un lion malfaisant et jaloux portant une cicatrice et des hyènes. La scène de la célébration de la naissance du lionceau reprend également un nombre significatif de plans du manga, à la façon d'un story-board, ainsi qu'une scène marquante de la silhouette d'un lion apparaissant dans les nuages[11][12]. En août 1994, Machiko Satonaka adresse une lettre accompagnée d'une pétition signée par 488 Japonais, dont 82 artistes, à l'intention des studios Disney, afin qu'ils reconnaissent s'être inspirés de l'œuvre de Tezuka[13]. Ces derniers nient tout plagiat de la série japonaise originale[14] et déclarèrent même ne pas connaître le mangaka, ce qu'Helen McCarthy, journaliste américaine, dénonce avec ironie Si vous étiez constructeur automobile et qu'aucun des designers de votre société ne connaissaient Honda, ne seriez-vous pas inquiet[15] ? ». Cette affaire a été évoquée dans les médias[8] ainsi que dans des œuvres populaires, comme dans un épisode de la série animée Les Simpson de 1995 qui parodie Le Roi Lion dans une scène où le lion Mufasa dit à Lisa Simpson Tu dois venger ma mort, Kimba… euh, je veux dire Simba ! »[16]. De plus, l'acteur Matthew Broderick confie que, lorsqu’il a été embauché pour le doublage de la voix de Simba dans Le Roi Lion, il pensait à priori que le projet était lié à Kimba, the White Lion[17],[18] Je pensais qu’il s’agissait de Kimba, qui était un lion blanc dans un dessin animé qui était diffusé quand j’étais petit. Alors, je disais à tout le monde que j’allais doubler Kimba[19]. » La société de production gérant les droits des œuvres de Tezuka ne porta pas plainte devant les tribunaux internationaux, en proclamant d'abord que le mangaka, grand admirateur des œuvres de Walt Disney qui l'avaient inspiré à de nombreuses reprises, aurait été flatté que le studio américain s'inspire à son tour de l'une de ses œuvres[13]. Mais après qu'il eut été évoqué que Disney aurait payé le studio Tezuka Productions pour éviter des poursuites, Yoshihiro Shimizu a fini par couper court aux rumeurs. Il a finalement expliqué que si sa société n'avait pas porté plainte, c'était car elle était trop petite pour se lancer dans une bataille juridique face à un géant tel que Disney[20]. En mai 2020, le vidéaste Adam de la chaîne YouTube YourMovieSucks sort une vidéo après avoir vu et lu toutes les mangas et adaptations de Léo, dans laquelle il affirme et explique point par point que la controverse n'a pas lieu d'être, car l'histoire générale, l'expérience proposée et le ton n'ont rien à voir, que les ressemblances mises en avant sont rares, superficielles et ont d'autres explications qu'un simple copier-coller de l'un sur l'autre. Il ajoute aussi qu'il est injuste de comparer plusieurs séries qui ont exploré beaucoup de situations scénaristiques avec un seul film.[21] Bibliographie source utilisée pour la rédaction de cet article Pierre Faviez, La Télé un destin animé, Société des Écrivains, 2010, 168 p. ISBN 9782748047264, lire en ligne Jean-Jacques Jelot-Blanc, 30 ans de séries et de feuilletons à la Pac, 1985 ISBN 2853362418 Notes et références Notes ↑ Osamu Tezuka se sent obligé d'être pessimiste. Il explique, à propos du Roi Léo Ce parti pris n'a pas du tout dérangé les enfants. Au contraire, ils sont très rapidement conscients des injustices sociales et naturelles. Le danger c'est d'essayer de leur faire oublier cette réalité de manière artificielle. » ↑ Cette reprise bénéficie de nouveaux titres et nouveau doublage Références ↑ Le samedi matin, vos enfants regardent la télé de Radio-Canada », Ici Radio-Canada, vol. 5, no 38,‎ 11 septembre 1971, p. 2 lire en ligne ↑ it Le retour de Léo », sur ↑ Fiche de doublage québécois », sur consulté le 24 mars 2018 ↑ Décret no 92-446 du 15 mai 1992 du code de l'industrie cinématographique et relatif à la classification des œuvres cinématographiques, abrogée du juillet 2014 par le décret no 2014-794, article 5, Titre III [...] Le visa d'exploitation en version doublée ne peut être accordé que si la version originale a obtenu le visa d'exploitation et si le doublage a été entièrement réalisé dans des studios situés sur le territoire français ou sur le territoire d'un autre État, membre de l'Union européenne ou Partie à l'accord sur l'Espace économique européen du 2 mai 1992. Toutefois, cette seconde condition n'est pas exigée pour les œuvres d'origine canadienne doublées au Canada. [...] » République Française - Service public de la diffusion de droit ↑ Cf. pages 7 et 8 du livre Le Doublage de Thierry Le Nouvel 2007, Paris, Éditions Eyrolles, Collection Ciné métiers, 98 p. ISBN 9782212121339, ISBN 978-2-212-12133-9. [Lire en ligne ↑ Cf. page 2 de L’Embargo français VDF Doublage cinématographique et télévisuel en version française, article de Jeanne Deslandes dans Nouvelles vues sur le cinéma québécois no 3, 2005 ↑ Jeanne Deslandes, Ciné-Bulles, vol. 18, no 2, 1999, p. 44-45. [Lire en ligne ↑ a et b en Michael J. Ybarra, Anime Instinct », Los Angeles Times,‎ 6 juin 2007 lire en ligne ↑ en Sean Macauley, Kimba to Simba », sur 2005 consulté le 29 novembre 2013 ↑ Dans les faits, la vaste majorité de l'histoire de Léo n'a rien à voir avec le Roi Lion. La ressemblance s'arrête à quelques designs similaires de personnages à la personnalité différente, et à quelques points scénaristiques, dont beaucoups sont commun à la fiction en général. ↑ Le contexte dans les deux œuvres est différent, la silhouette dans Le Roi Lion représente le fantôme du père du protagoniste, Mufasa, qui vient délivrer un message dans une scène qui marque un tournant de l'histoire. Dans le roi Léo, il s'agit d'une image symbolique à but purement stylistique qui représente Léo lui-même après sa mort à la tout fin du manga. ↑ en Fred Patten, Watching Anime, Reading Manga 25 Years of Essays and Reviews, 2004, 383 p. ISBN 978-1880656921, lire en ligne, p. 156. ↑ a et b en Yasue Kuwahara, Japanese Culture and Popular Consciousness Disney's The Lion King vs. Tezuka's Jungle Emperor », The Journal of Popular Culture, vol. 31,‎ 1997, p. 37–48 lire en ligne ↑ en Peter Hong, The Lion King/Kimba controversy », Los Angeles Times,‎ 19 mai 2002, p. L4 lire en ligne, consulté le 12 août 2008 ↑ en Dominic Wells, Osamu Tezuka, the master of mighty manga, the japanese Walt Disney deserves wider acclaim », sur The Times, 2008 consulté le 29 novembre 2013. ↑ Heub, Références Roi Lion Le », sur 2008 consulté le 29 novembre 2013 ↑ en Peter Schweizer and Rochelle Schweizer, Disney The Mouse Betrayed, p. 167-168. ↑ en Trish Ledoux and Doug Ranney, The Complete Anime Guide Japanese Animation Video Directory and Resource Guide, p. 16. ↑ en Yardena Arar, Disney expands on animation tradition with 'Lion King' », Los Angeles Daily News,‎ 12 juin 1994 ↑ en Roland Kelts, Japanamerica How Japanese Pop Culture Has Invaded the US. Palgrave Macmillan, 2008, p. 45 ↑ YMS Kimba the White Lion » consulté le 31 mai 2022 Liens externes Ressource relative à l'audiovisuel pour Le Roi Léo 1965 en Le Roi Léo anime sur Anime News Network 1965 Ressource relative à l'audiovisuel pour New Jungle Emperor, Go Ahead Leo! 1966 en Le Roi Léo anime sur Anime News Network 1966 Fiche de la série », sur Planète Jeunesse Ressources relatives à l'audiovisuel pour The New Adventures of Kimba The White Lion de OFDb 1989 en Le Roi Léo anime sur Anime News Network remake de 1989

le roi du rire est dans la lune